Entre toi et moi
Plus question d’une histoire
Guerrier des celtes aux ibères
Que des problèmes de foi,
Et tu sais, que dans la vie
Il y a ici et là-bas, ma vie et
Tes choix, paye le prix fort
Sans perdre le nord dans le fond.
Insomniaque depuis trop longtemps,
J’ai que des problèmes mais je n’ai plus de raison.
Mais en fait c’est facile de dire que les temps sont durs,
La faim donne le courage aux gamins dans nos rues.
Si je devrais choisir un moment j’aurais
Dit ici, chevalier du temps présent dans
Le royaume que je vis.
Impardonnable comme mon passé,
Si j’aurais été sage j’aurais pu oublier.
Certaines images que mon cerveau a gravé,
Du Paranormal à Paris on connaît
Lisbonne, Guarda ce sont nos fêtes.
Entre mes frères, on ne se juge plus, on gère.
L’histoire de nos ancêtres, on respecte
Et la patrie de nos parents, on vénère
Chauvinisme dans le sang, on le reconnaît.
Vos farines ce son notre Blanche Neige,
On la paye cash ou en chèque,
Dans nos usines, elle devient des gâteaux
Et dans les veux-cer elle se paye cher.
Aujourd’hui on est toutes des boulangères,
Pâtissières, entrepreneuses qui font la part
De toutes les choses, et tous vos vices.
Avant qu’on éclate vos doses et vos payes,
Désolée si nos textes ressemblent à des poèmes.
L’école de la rue a payé le prix, et l’école de
Notre vie a décidé de signer le chèque.
Désolée Papa, je représente ma terre avant toi,
Je comprends que ton passé n’était pas heureux,
Je n’ai rien choisi tout était mon plein droit, entre
Ici et chez toi, désolée mais tu m’as fait
Comprendre que la vrai école était là.
Dans nos rues, désolée si j’ai préférée connaître
Les rues de Paris, entre un bled et ma voie, je
Reste ici, sans options, sans choix, sans raisons.
Mais en fait, c’est moi qu’a choisi de quitter mon quartier.
Et sans vous, sans la gloire de mes ancêtres,
Si je veux graver mon nom dans l’histoire,
Je préfère le faire par moi même, sans savoir
Que vos opinions ont guidé chacun de mes pas.
Excusez-moi si mon épilogue aux allures
De monologue, a été décrit en vain.
Quand j’ai vu mon frigo vide et ma mère
Qui me donnait son pain, je me disait que
J’étais moins que rien mais sans dettes,
Ces souvenirs de la vrai galère m’ont rendu
Plus forte qu’un démon, qui n’a aucune peur
Puisque que notre crise est quotidienne.
Maintenant je n’ai plus envie de m’arrêter,
Avant que vous tous m’appellent le chef
Finie est la fête, l’after est dans le quartier.
Quand la soirée termine c’est difficile de dormir.
Comme ont dit chez moi, lá está, voilà,
Ce n’est pas qu’une question de chance,
Talent sans travail que dans le dictionnaire,
Moi c’est que le travai qui m’a rendue meilleure.
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