07/04/21

Épilogue

Entre toi et moi 

Plus question d’une histoire 

Guerrier des celtes aux ibères 

Que des problèmes de foi,

Et tu sais, que dans la vie

Il y a ici et là-bas, ma vie et 

Tes choix, paye le prix fort 

Sans perdre le nord dans le fond.


Insomniaque depuis trop longtemps,

J’ai que des problèmes mais je n’ai plus de raison.

Mais en fait c’est facile de dire que les temps sont durs,

La faim donne le courage aux gamins dans nos rues.

Si je devrais choisir un moment j’aurais 

Dit ici, chevalier du temps présent dans 

Le royaume que je vis.

Impardonnable comme mon passé, 


Si j’aurais été sage j’aurais pu oublier.

Certaines images que mon cerveau a gravé,

Du Paranormal à Paris on connaît 

Lisbonne, Guarda ce sont nos fêtes. 

Entre mes frères, on ne se juge plus, on gère.

L’histoire de nos ancêtres, on respecte 

Et la patrie de nos parents, on vénère 

Chauvinisme dans le sang, on le reconnaît.


Vos farines ce son notre Blanche Neige,

On la paye cash ou en chèque, 

Dans nos usines, elle devient des gâteaux 

Et dans les veux-cer elle se paye cher.

Aujourd’hui on est toutes des boulangères,

Pâtissières, entrepreneuses qui font la part 

De toutes les choses, et tous vos vices.

Avant qu’on éclate vos doses et vos payes,

Désolée si nos textes ressemblent à des poèmes.

L’école de la rue a payé le prix, et l’école de 

Notre vie a décidé de signer le chèque.


Désolée Papa, je représente ma terre avant toi,

Je comprends que ton passé n’était pas heureux, 

Je n’ai rien choisi tout était mon plein droit, entre 

Ici et chez toi, désolée mais tu m’as fait 

Comprendre que la vrai école était là. 


Dans nos rues, désolée si j’ai préférée connaître 

Les rues de Paris, entre un bled et ma voie, je 

Reste ici, sans options, sans choix, sans raisons.

Mais en fait, c’est moi qu’a choisi de quitter mon quartier.

Et sans vous, sans la gloire de mes ancêtres,

Si je veux graver mon nom dans l’histoire,

Je préfère le faire par moi même, sans savoir 

Que vos opinions ont guidé chacun de mes pas.


Excusez-moi si mon épilogue aux allures 

De monologue, a été décrit en vain. 

Quand j’ai vu mon frigo vide et ma mère 

Qui me donnait son pain, je me disait que 

J’étais moins que rien mais sans dettes, 

Ces souvenirs de la vrai galère m’ont rendu

Plus forte qu’un démon, qui n’a aucune peur 

Puisque que notre crise est quotidienne.


Maintenant je n’ai plus envie de m’arrêter,

Avant que vous tous m’appellent le chef 

Finie est la fête, l’after est dans le quartier.

Quand la soirée termine c’est difficile de dormir.

Comme ont dit chez moi, lá está, voilà,

Ce n’est pas qu’une question de chance,

Talent sans travail que dans le dictionnaire,

Moi c’est que le travai qui m’a rendue meilleure.

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